Une petite dose de fuck you.


C’est pas moi, nan!

Une note rapide entre deux séquences de révisions…
Révisions qui, notons le, sont mes dernières en tant qu’étudiant, snif. Mais c’est aussi les plus concentrées que je n’ai jamais subi. En gros plein d’exams en peu de temps.

Mais à tout ça s’ajoute quelques péripéties comiques… ou pas.

Péripétie 1: Depuis 2 jours, mon cher stick internet 3G Vodafone dont je disais tant ne bien, ne fonctionne plus. Essayez de comprendre comment c’est autrement plus chaud de réviser des cours dans une langue qu’on ne maitrise pas sans l’aide d’internet ou d’au moins un dico… (En fait je crois que si il ne fonctionne pas c’est parce que je n’ai pas payé. Huhu)

Péripétie 1,5: Soirée d’au revoir de 50% des erasmus, je ne pouvais décemment pas rater ça.


Ciao Marco!

Péripétie 2: Hier soir je souhaitais me pieuter à une heure raisonnable, disons 00h30. J’y arrive plus ou moins quand vers 1h30 des bruits de rires et de discussions à haute voix me réveillent. J’attends 2h, me disant que cette bande de relous dans le couloir va se disperser. Bah non. Je sors donc, et je vois quoi? Je vois une petite dizaine d’erasmus écoutants de la musique et mattants des films dans le couloir. OK! Il faut savoir qu’on a une salle commune assez bien insonorisée, ils étaient juste devant parce que soit disant, la moquette c’est plus confortable que le parquet. Héhé. Connaux.

Péripétie 3: Ce matin enfin à 6h du matin, soit 4h après avoir pu fermer l’œil, je suis réveillé par une douce mélodie de merde! De la chanson allemande low quality vient me percer les oreilles, j’en reviens pas. 6h un dimanche matin. Je sors et je vois encore les clochards mais dans la salle commune comme je leur avais recommandé de faire 4h avant. Je rentre, la tête profondément dans le cul, et leur demande de la fermer mais en mode gentil. Je retourne dans ma chambre, toujours de la musique. Mais ils sont cons ou quoi?? Bah non en fait c’est pas eux. Après une petite enquête de voisinage, je capte que c’est la radio du réveil de mon voisin vietnamien, qui bien sur n’est pas là. Je me taperai donc 1h de chansons allemandes epiquement reloues. Bref le bonheur quand à 7h tout s’arrête.

Conclusion: Détruisons le Viêtnam et tous ses habitants.

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Ca sent la Wurst…

Comme me disait Tim, cet allemand rencontré à une énième “Sommer Party”, toutes les bonnes choses ont une fin, sauf les wurst qui ont en deux.

Sur cette phrase profonde et remplie de bon sens, on se dit que tout ça arrive à une fin.

A présent tous les erasmus avec qui je n’ai jamais été très proche, dont les seules conversations que l’on avait entre nous tournaient autour des fameux: “Et au fait tu étudies quoi?”, “Comment on dit *pouet* en telle langue?”, “Tiens c’est marrant c’est pareil en français, ah ouai ah ah trop funky”. Bref maintenant on se sert la sauce aigre douce des “Tes exams c’est quand?”, “Et sinon tu pars quand?” ou encore “Alors on la fait quand cette ultime soirée??”.

Oui c’est très aigri mais c’est un peu le sentiment qui prédomine. C’est une période assez extraordinaire qui se termine. J’ai consciemment pris l’exemple plutôt négatif des gens avec qui je n’ai jamais partagé énormément de choses. Parce que même eux vont me manquer, toute cette tribu, ces dixaines d’étudiants de tous les pays du monde avec qui je discutai peu et pourtant on était dans le même bateau. On était donc plus proche que je ne voulais bien le penser.

Et si je parle des relations que j’ai eu avec ces gens c’est peut être parce que je n’ai pas vraiment envie de penser à tout ceux que je vais amèrement regretter. Toutes ces personnes qui m’ont fait me poiler, avec qui j’ai eu des délires monumentaux, des soirées inoubliables, ou même des cuites historiques (oui soyons honnète, Erasmus, c’est aussi de l’alcool, beaucoup, peut être que j’en reparlerai dans un autre article). Bien sur en plus de ça il y a tout ceux que je reverrai et qui ont dépassé le stade de pote erasmus.

J’ai des miliards de choses à dire, à raconter, tout plein d’histoires plein la tête. J’ai aussi pris des leçons, découvert des cultures incroyables, mangé de la bouffe inimaginable, j’ai appris énormément sur les autres et sur moi même. Expérience exceptionnelle mais pas infinie même si tous les enseignements grappillés durant ces 11 mois resteront forgés en moi pendant longtemps.

Mais je ne vais pas cloturer trop tôt ce qui ne se termine réellement dans un mois. Bien que j’ai quelques obligations universitaires pour lesquelles je me dois d’être appliqué et concerné un tant soit peu, je vais encore vivre pas mal de choses ce dernier mois. Je ferai de toute façon un article spécial pour mettre un point final. Cet article essaye de retranscrire un peu mon état d’esprit de ces derniers jours.

J’écris sous la fatigue d’une semaine très pauvre en sommeil à cause de la chaleur caniculaire auquelle on a eu droit, vous excuserez donc les fautes et le trop plein sentimental de cet article. Allez, à toute, et merci à Federer de m’avoir bien boosté aujourd’hui en assistant par la magie de la radio à un instant historique du tennis.

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Bonne fête maman

Oui parce qu’on doit tout à nos mères, mamans, mam’, mommy, mutter.
Alors en attendant de le dire en vrai, je profite de la portée mondiale (et intersidérale) du blog:

Bonne fête!!!

Et aussi, je ne sais jamais si on peut mais bonne fête bonne maman et bonne fête mijou!

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